Le deal à ne pas rater Cartes Pokémon Japon le display Pokémon Go de retour en stock sur ... Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez AuteurMessageInvité Empire State of MindInvité Sujet Vieeens à la maisoon, y a le printemps qui chanteeee ♪ [ Feat Mya L. Fisher ] Jeu 9 Aoû - 1137 Mya & Elliot Tout nouveau, tout beau. »Aujourd'hui c'était le grand jour ! Ma colocataire allait enfin arrivé à la maison, v'là presque un an que j'habitais au 201 rue 1556 Ocean Parkway à Brooklyn. Cet appartement est assez spacieux, la décoration étant fait par moi même, me plaisant beaucoup je n'apprécierai pas qu'elle souhaite trop imposée » dans l'appart' du style poser ces petits objets de partout etc … Après je comprendrai qu'elle veut se mettre à son aise bien évidemment et s'installer correctement, surtout qu'à la base la déco' n'est pas dégueux non plus là. Les murs sont peints avec un violet assez foncé prenant ¾ du mur, le reste étant uniquement peint en blanc ainsi que le plafond. Au sol, un parquet assez somptueux avait été posé, j'y faisais énormément attention me déplaçant toujours en chaussettes ou pieds nus afin de ne pas l'abimer. J'avais également accroché deux trois toiles ou dessins, que je ne souhaitais pas vendre et que je gardais comme satisfaction personnelle, je les plaçai juste pour faire joli parce que foutre des portraits de famille partout c'était pas trop mon truc surtout vis à vis de mes antécédents avec eux. En parlant de ma famille, c'était elle qui m'avait fait don » de cet appartement, du moins ils ne me l'avaient pas donné mais me l'avaient vendu à un très très bon prix, on pouvait dire que mon oncle et ma tante était assez généreux contrairement au reste de l'arbre généalogique. Dans ce salon, il y avait quand même bien quelques meubles, une table basse, un canapé, une télévision Samsung assez grande ne valant pas une fortune, une Wii que j'avais récupéré de mon cousin avec laquelle je jouais dans des moments de solitude, et un petit meuble où je rangeai toujours une bouteille de Jack Daniels et un paquet de cigarettes dans le moment où ça n'allait pas. Mais bon on va pas s'mettre à chialer et blablabla …Mis à part le salon, le reste des lieux était reparti en trois pièces plus un balcon, une cuisine tout ce qu'il y a de plus basique, frigo, congélo, placard à balais bref le classique, ensuite une salle de bain classique également avec simplement une baignoire et du carrelage posé. Deux chambres, la mienne où c'était légèrement le foutoir en général mais j'avais rangé pour l'occasion, elle ne tardera pas à constater mon côté bordélique dans mon chambre, et celle des amis à l'occasion celle de ma nouvelle colocataire, elle disposait comme la mienne d'un lit deux places d'une armoire et un bureau pour brancher un ordinateur ou pour travailler. Bref elle ne manquera de rien, au pire si elle cherche des moments de solitude, elle pourra s'installer sur le balcon assise à la petite table en plein milieu à lire un livre ou boire un café en regardant la vue pas si majestueuse du deuxième étage. Enfin bon d'après l'aperçu que j'avais eu d'elle, ce n'était pas une fille très difficile qui cherchait juste une collocation basique pour éviter de continuer à payer l'hôtel. Elle était étudiante en médecine spécialisée dans la psychologie, ça tombait bien j'avais toujours voulu discuté avec des personnes ayant un peu une certaine ouverture d'esprit », elle se décrivait comme calme, amicale du moins pas une excitée qui saute de partout et les photos que j'avais posté sur un site de location l'avais enthousiasmé et que le boulot qu'elle faisait, suffirait à payer sa part du loyer. Pour moi tout allait bien, et puis en plus nous nous étions envoyés des photos, et on pouvait dire qu'elle était pas mal, mais je n'allais pas entamer une relation avec elle quand même, ça se faisait pas mais je devais reconnaître qu'elle faisait un peu de l'effet ! Je m'étais même mis du parfum pour l'occasion, avec un petit polo' et un jeans c'était parfait, il ne restait plus qu'à attendre ! Et tout à coup la sonnette retentit ! Oh quelle sacrée surprise ! Juste pile au moment où j'étais fin prêt, sacrée coïncidence ! J'accédai au corridor, fis un grand sourire et dis BIEN... Mme Stenfield ? »Une vielle mégère de 79 balais, qui sonnait à ma porte soit quand elle avait besoin de quelque chose, la plupart du temps, un ingrédient, soit pour me proposer un de ces cookies qui n'étaient pas vraiment fameux. En l'occurrence là, c'était pour me demander quelque chose puisqu'elle n'avait rien dans les mains Et bien quel accueil Mr Pettigrew … Pourrais-je vous emprunter un peu de sel s'il vous plaît ? »Rouge de colère comme une tomate, je m'empressai de revenir sur mes pas, direction cuisine pour prendre ce foutu sel et lui donner en mains propres, elle se permit même de faire une remarque désobligeante Merci bien … Et au fait votre parfum sent très bon, mais vous en avez un peu trop mis … »En guise de réponse je lui fermai tout simplement la porte au nez. Quoi ? Moi, vexé ? Non pas du tout … J'étais juste prêt à rencontrer une jeune demoiselle quand je me retrouve face un fossile sur pattes qui se permet de faire des remarques là où elle ne devrait pas en faire, elle et son parfum de grand-mère qu'on sent à trois kilomètres ! Bien évidemment, je m'en allai à l'air frais sur le balcon histoire de faire fuir l'odeur de mon parfum qui commençait à se dissiper, quand à nouveau la sonnette rejoua son morceau et s'en suivit une poussée de jurons que j'étais à deux doigts de sortir devant la porte d'entrée quand d'un seul coup je m'arrêtai net auprès de la porte. La violence n'était pas la solution face à ce type de personnes, il fallait s'avérer de patience pour pouvoir leur faire face, j'ouvris la porte commençant déjà le discours habituel Quoi encore Mme Stenfie... ? »Mais face à moi ne se trouvait pas Mme Stenfield, mais une jolie et jeune femme blonde aux yeux bleus, un peu plus petite que moi, des affaires à la main, pas de doute c'était la jeune colocataire. J'étais en état de choc, c'était l'opposé de la situation précédente j'avais eu un dinosaure à la place d'une demoiselle et là une demoiselle à la place d'un dinosaure. Je me tins droit comme un piquet, arrangeai mes long cheveux noirs décoiffés par le vent tout à l'heure sur le balcon et entamai une phrase semée de Euuh » Euuh …excusez moi !! Vraiment désolé je croyais que c'était quelque d'autre qui venait hum … euuh .et bien … euuh … Bienvenue ! Quel est votre prénom déjà ? » dis-je avec un grand sourire Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Vieeens à la maisoon, y a le printemps qui chanteeee ♪ [ Feat Mya L. Fisher ] Jeu 9 Aoû - 1633 L'amour tourmente et fait souffrir; l'amour n'est qu'un soleil trompeur, une drogue qui nous empêche de voir le réel. Nous croyons toujours aimer quelqu'un pour ce qu'il est, nous n'aimons en fait, à travers lui, que l'idée de l'amour. »Ce fut sur cette dernière phrase que les yeux de la jeune femme s’arrêtèrent, Guillaume Musso avait totalement raison en écrivant ces quelques mots. Beaucoup de filles ou même de garçons se trompaient, ils n’étaient pas amoureux de la personne qui pouvait se trouver en face d’eux, ils étaient uniquement amoureux de l’idée même de l’amour. Un sentiment si puissant, si intense, tellement particulier et indescriptible si on ne l’a jamais vécu soi-même. Mya songea un moment à toutes ces filles qui couraient de garçon en garçon, à peine étaient-elles séparées de l’un, qu’elles étaient déjà avec un nouveau…Ce genre de filles, même si on pouvait les qualifier tout simplement de filles faciles », étaient en vérité beaucoup plus complexes que cela. C’est ce genre de filles-là qui sont amoureuses de l’idée même de l’amour, de l’idée que quelqu’un dans la même ville ou ailleurs puisse penser à elles à n’importe quelle heure de la journée, puisse leur offrir des cadeaux. Elles sont amoureuses de tous ces moments à deux ; le restaurant, le cinéma, les vacances…Le jour où elles finissent par se rendre compte que l’homme avec qui elles sont actuellement n’est en vérité pas l’homme qu’elles attendent, elles passent à autre chose, à un autre homme, à un autre amour tout simplement. Du haut de ses 20 ans, Mya n’était jamais tombée amoureuse. Oui bien sûr, elle avait déjà eu des attirances pour certains garçons mais il s’agissait juste d’une simple attraction et non d’une alchimie particulière. Mya referma ce fameux livre sauve-moi », qu’elle avait entamé hier soir avant d’aller dormir puis ferma les yeux et se laissa aller à rêvasser. On ne pouvait nier que la jeune demoiselle était plutôt jolie, même très jolie, pourtant elle avait toujours repoussé les hommes qui s’intéressaient à elle et cela depuis son adolescence. Mya n’était pas ce genre de filles qui n’attendaient qu’une seule chose, le prince charmant. Si Mya n’y connaissait pas grand-chose en la matière, elle était tout de même lucide et savait éperdument que le prince charmant n’existait pas. Pas dans la vie réelle en tout cas. Elle n’était pas non plus certaine de croire au coup de foudre ou du moins s’il pouvait se produire, cela était extrêmement rare. Elle était plutôt partisante de l’idée que chaque homme et chaque femme n’a pas une seule âme sœur en ce monde, qu’il n’y a pas qu’une seule personne faite pour l’un ou pour l’autre. Combien d’homme et femme après s’être mariés puis avoir divorcé, on finit par se remettre avec quelqu’un ? La théorie de l’âme sœur est un mythe, il est possible d’aimer plusieurs personnes au cours de sa vie, et cela de la même ouvrit les yeux, et même si ceux-ci étaient cachés derrière des lunettes de soleil noires, elle ne put s’empêcher de les froncer, éblouie par le soleil. Il devait faire environ 28° cependant la chaleur n’était pas si écrasante que les jours précédents, en effet une légère brise soufflait caressant la peau de la jeune femme qu’elle avait décidé d’exposer afin de prendre quelques couleurs. Mya regarda l’heure sur son portable, il fallait qu’elle aille se préparer, elle se leva alors du transat dans lequel elle s’était affalée un peu plus tôt dans la matinée. Elle gagna rapidement la salle de bain afin de prendre une douche express puis enfila une tenue légère composée d’un short en tissu blanc et d’un débardeur bleu, rappelant ainsi la couleur de ses yeux. Mya termina de boucler ses affaires, vérifia que tout était bien en ordre dans chambre d’hôtel avant de la quitter. En effet, même si elle savait qu’à peine elle aurait franchi les portes de l’hôtel, une femme de ménage viendrait tout nettoyer, elle ne pouvait pas s’imaginer tout en laisser en désordre. Une fois cela fait, elle ferma définitivement la porte de sa chambre, elle y avait passé quasiment un mois et même si c’était un endroit agréable, elle avait hâte de s’installer dans son nouveau chez soi. La jeune femme régla les dernières factures qui l’attendaient à la réception de l’hôtel puis aidé de l’un des grooms elle chargea toutes ses affaires dans le coffre du taxi qu’elle avait appelé un peu plus tôt. Après quelques mots d’au revoir échangé avec le directeur de l’hôtel avec qui elle avait très vite sympathisé, elle s’engouffra dans le taxi qui allait l’emmener dans son nouvel appartement dont l’adresse était 1556 Ocean Parkway 201, Brooklyn. Durant le court trajet d’une vingtaine de minutes environ, Mya ressortit le papier qu’elle avait imprimé quelques jours plus tôt. Dessus était inscrite l’annonce qu’avait passé le jeune homme qui désirait trouver un/une colocatairetrice, il se disait calme, sans histoire, souvent occupé par son travail. Calme, c’était la principale chose que désirait la jeune femme, elle n’avait nullement envie de se retrouver avec un fêtard intoxiqué à l’alcool, à la drogue et aux filles. Dans quelques semaines, les cours allaient reprendre et il lui faudrait un maximum de tranquillité pour étudier. Mya regarda une dernière fois la photo que le jeune homme lui avait envoyé à peine quelques jours plus tôt, sans mentir, il fallait avouer qu’il était plutôt beau garçon. Il devait certainement avoir une copine ou un copain…Il faudrait sans doute que Mya se prépare à le ou la rencontrer, ça ne la dérangeait d’ailleurs absolument pas, à partir du moment où ils ne faisaient pas la fiesta » jusqu’à 4H du jeune femme rangea rapidement le papier quand elle sentit le taxi ralentir pour finalement s’arrêter. Mya regarda quelques secondes par la fenêtre, la bâtiment plutôt imposant semblait avoir été rénové récemment. D’apparence il plaisait à la jeune femme, c’était plutôt bon signe. Elle paya le taxi avant de décharger ses affaires puis elle se dirigea vers l’entrée du bâtiments, autour de lui, étaient disposés quelques parterres où étaient plantées quelques fleurs donnant ainsi à l’ensemble une touche soignée et colorée. Mya pénétra à l’intérieur de bâtiment et monta rapidement les marches, elle n’y croisa qu’une dame assez âgée avec du sel dans la main et l’air assez aigri. Celle-ci lui fit d’ailleurs un vague signe de tête auquel Mya s’empressa de répondre. La jeune femme ne tarda pas à arriver devant la porte de son appartement, elle écouta, aucun son en sortait…Elle prit une profonde inspiration et frappa. La réponse ne se fit pas attendre, le jeune homme avec qui elle avait discuté sur le net avait fait son apparition sur la pas de la porte, cheveux en bataille avec un air franchement étonné accroché au visage. Il avait dit Quoi encore Mme Stenfie ? » puis se rendant probablement compte de son erreur, il avait poursuivi en disant Euuh …excusez-moi !! Vraiment désolé je croyais que c'était quelque d'autre qui venait hum … euuh .et bien … euuh … Bienvenue ! Quel est votre prénom déjà ? » Merci…Et je m’appelle Mya…Mya Fischer, vous êtes Elliot n’est-ce pas ? » dit la jeune femme avec un grand sourire avant de lui tendre la main en guise de salut. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Vieeens à la maisoon, y a le printemps qui chanteeee ♪ [ Feat Mya L. Fisher ] Ven 10 Aoû - 2042 L'important c'est que rien ne soit prévisible. »de Guillaume Musso Merci…Et je m’appelle Mya…Mya Fischer, vous êtes Elliot n’est-ce pas ? » dit-elle tout en me tendant la amicale et mignonne en plus ! Je l'identifiais rapidement des pieds à la tête, un short en tissu blanc assez court, un débardeur bleu qui en révélait un peu, une bouille à croquer, des magnifiques yeux bleus et une véritable crinière blonde pour couronner le tout. Je devais avouer que j'étais à la limite de sortir la langue comme un toutou, autrefois j'aurai voulu la conquérir » sur le moment, tout de suite, mais les années m'avaient rendu un peu plus sociable avec les femmes. Mais bon dieu qu'est-ce qu'elle était jolie, voilà bien longtemps qu'une fille n'avait plus attiré mon œil. Merde alors, Elli reprends toi, ne te fais pas le fantasme de la séduisante colocataire ne souhaitant qu'un homme à ses côtés, on avait dit pas de relations bordel de diou ! Oui je me raisonnais moi-même, ça vous arrive pas vous des fois ? Non, vraiment ? Tant pis. Bref, je n'allais pas mettre un vent à cette demoiselle, à qui je serrai la main tout sourire Oui c'est bien ça ! Encore désolé pour tout à l'heure c'est Mme Stenfield une vieille dame du troisième étage qui me demande toujours quelque chose vous l'avez peut-être croisé. »Une fois, les salutations faites et bien … Et bien … Et bien je ne sais plus du tout ! Merde j'avais répété toute la matinée, je m'étais préparé, c'est ce dinosaure de Mme Stenfield qui m'avait perturbé. Je restais debout regardant le sol d'un air soucieux, en me mettant la paume de ma main sous le coude et les doigts sur ma bouche, ma position pour réfléchir, et essayais de me rappeler ce que je devais faire. Mya allait voir que quelque chose me perturbait et elle allait me poser des questions, comme si ça allait m'arranger, euh … Déjà la faire rentrer ! OUI la faire rentrer mon dieu mais quel idiot je fais Et bien, entrez donc ! » dis-je tout de tendis mon bras droit pour l'inviter à rentrer toujours en souriant pour cacher mon inquiétude en la regardant avancer puis me souvins de l'une des premières choses que je devais dire ou faire Aaah il faut enlever ces chaussures et les laisser à l'entrée, pour éviter d'abimer le parquet. »Fiouuu, au moins le parquet était sauvé et ça faisait une chose en moins à dire. Je fermai la porte derrière moi et la rejoignis dans le salon. Bon, euh maintenant les visites ! Oh euh non, fallait pas la précipiter et la mettre à l'aise, lui proposer quelque chose à boire ou à manger et … Lire la fiche des conditions de collocation ! OUI ! OUI JE N'AI PAS ALZHEIMER ! Hum, enfin bref je pris une chaise et l'invitai à s'asseoir, avant d'avoir pris ma fiche posée sur la table de la salle à manger une petite table ronde pour déjeuner et dîner accompagnée de deux chaises , pris une petite inspiration et commença à parler Bien, alors j'ai dans les mains, plusieurs règles » que nous allons nous imposer toi et moi, je me permets de vous tutoyer vu que nous allons passé pas mal de temps ensemble autant commencer à prendre les bonnes habitudes. » dis-je avec un petit smile Alors avant que je commence à t'en parler, tu souhaites visiter un peu les lieux ou bien on voit ça plus tard ? Ah oui et tu veux quelque chose à boire ou à manger, un thé ou un petit café ? »J'avais l'impression d'être un serveur dans un Starbucks, mais bon il fallait quand même que j'accueille un minimum la personne qui allait vivre sous mon toit pendant un bon moment de la meilleure de façon qu'il soit ! Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Vieeens à la maisoon, y a le printemps qui chanteeee ♪ [ Feat Mya L. Fisher ] Sam 11 Aoû - 1317 Même s’il le fit rapidement, Mya vit bien son colocataire l’observer de la tête aux pieds. La jeune femme sourit intérieurement, elle connaissait parfaitement ses atouts physiques et savait que son corps presque parfait attirait plus d’un homme. Depuis son plus jeune âge, sa bouille innocente tel un ange descendu du ciel attirait tous les regards, lors des fêtes, des mariages ou autres, on ne cessait de la complimenter sur sa beauté et lui dire qu’elle deviendrait une jolie jeune fille. A l’adolescence, Mya ne fit que s’embellir et les regards étaient toujours là, cependant leur nature était différente. Il ne s’agissait plus de regard attendri ou subjuguer mais bien des regards montrant l’envie et le désir que les hommes avaient pour son corps. Aujourd’hui, le regard des hommes sur elle n’avait pas changé, même si elle ne l’appréciait pas tellement, elle avait fini par s’y habituer. C’est en grande partie pour cela que la jeune femme n’avait jamais su accorder sa confiance à un homme, non seulement en raison de son enfance peu commune mais également à cause de ces regards qui l’incitaient à penser que si un homme s’intéressait à elle, c’était uniquement pour son physique, coucher avec elle et rien d’autre. Cela l’avait pas mal handicapé » durant son adolescence, une période où n’importe quel jeune découvre les joies de l’amour et du sexe. Mya avait toujours refusé ça, repoussant chaque garçon qui avait pu s’intéresser à elle, la jeune femme s’était contentée de se plonger dans son travail scolaire refusant ainsi de faire face à sa relation avec les hommes. Elle se souvenait encore de toutes ces sorties au cinéma ou au restaurant qu’elle avait pu faire avec ses amies, Mya avait toujours été la seule marginale à ne pas avoir de garçon qui l’accompagnait, elle faisait même d’ailleurs un peu potiche face à la plupart de ses amis en couple qui passaient les ¾ du temps la langue dans la bouche de leur copain copine. Ses amis ne comprenaient d’ailleurs pas cette manie que Mya avait de repousse tous les garçons qui s’intéressaient à elle mais ils ne pouvaient pas comprendre et la jeune femme n’était pas encore prête à parler de son enfance difficile à cette époque, elle ne l’était pas encore plus maintenant d’ailleurs. Voilà pourquoi Mya ne fut pas tellement surprise du regard que posa Elliot sur elle, la jeune femme resta d’ailleurs très naturelle faisant mine de ne pas l’avoir remarqué. Oui c'est bien ça ! Encore désolé pour tout à l'heure c'est Mme Stenfield une vieille dame du troisième étage qui me demande toujours quelque chose vous l'avez peut-être croisé. » Ah oui, je l’ai croisé un étage plus bas…Elle grommelait des choses incompréhensibles dans ses dents, d’ailleurs à première vue, elle a l’air un peu…Comment dire ? Spéciale. » Eh bien, entrez donc ! » dis-je tout de sourire. » Aaah il faut enlever ses chaussures et les laisser à l'entrée, pour éviter d'abimer le parquet. »Mya passa devant Elliot qui l’avait invité à rentrer, comme il lui avait indiqué, elle ôta ses chaussures avant de pénétrer un peu plus à l’intérieur de l’appartement. Il avait raison de prendre une telle précaution, le parquet était magnifique, il était fait d’un bois foncé et semblait dater d’une autre époque, une délicieuse odeur de miel flottait dans la pièce prouvant ainsi qu’il avait été ciré récemment. Cela rappelait un peu à Mya les châteaux qu’elle avait pu visiter quand elle était plus jeune, eux aussi étaient dotés de magnifiques parquets en chêne pour la plupart dont se dégageait toujours une délicieuse odeur de miel prouvant ainsi leur bon entretient et qui craquait sous les pas des visiteurs témoignant ainsi de leur âge avancé. Heureusement, celui-ci ne craquait pas autant que ceux des vieux châteaux mais il était tout aussi beau et il donnait encore un peu plus de charme à cet appartement. La jeune femme attendit de nouveau qu’Elliot ne la guide mais celui-ci avait l’air vraiment perturbé…Tombait elle au mauvais moment ? Ou était-il tout simplement un peu timide de se retrouver en face à face avec sa nouvelle colocataire ? Enfin le jeune homme l’invita à s’assoir avant d’aller chercher un papier un peu plus loin puis elle revint vers Mya. Bien, alors j'ai dans les mains, plusieurs règles » que nous allons nous imposer toi et moi, je me permets de vous tutoyer vu que nous allons passer pas mal de temps ensemble autant commencer à prendre les bonnes habitudes. » Alors avant que je commence à t'en parler, tu souhaites visiter un peu les lieux ou bien on voit ça plus tard ? Ah oui et tu veux quelque chose à boire ou à manger, un thé ou un petit café ? » Le tutoiement ne me pose aucun problème, ça ne me dérange pas de commencer par le règlement, on aura tout le temps de visiter après et puis je veux bien un petit café si tu as. Alors, quelles sont tes règles ? » Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Vieeens à la maisoon, y a le printemps qui chanteeee ♪ [ Feat Mya L. Fisher ] Sam 11 Aoû - 1906 Rien n'a plus de valeur qu'aujourd'hui. »de Johan Wolfgang von GoetheLa jeune Mya n'était pas une demoiselle compliquée et ça m'arrangeait bien, pas d'oppositions à me faire. Ben oui, y avait des gens comme ça qui cherchait un peu la petite bête, rien que pour vous donner du fil à retordre sachant que vous ne pouviez pas de remarques désobligeantes à leur égard. Heureusement ma nouvelle colocataire n'avait pas du tout l'air comme ça, la plupart des femmes qui avaient son physique n'étaient que des bimbos écervelées et parsemées de fond de teint et de rouge à lèvres. Alors qu'elle, était polie, distinguée et coopérative, je sentais qu'on allait bien s'entendre. Sa réponse fut brève et s'énonça comme si j'avais voulu quelle soit Le tutoiement ne me pose aucun problème, ça ne me dérange pas de commencer par le règlement, on aura tout le temps de visiter après et puis je veux bien un petit café si tu as. Alors, quelles sont tes règles ? » Hum, et bien d'abord je vais te faire ton café comme ça nous serons plus tranquilles, tu peux faire une brève visite des lieux le temps que je prépare tout ça. »Merde, pourquoi j'avais dit tranquille ? La caféine était sensé faire l'effet inverse, voilà bravo Elliot t'étais encore passé pour un blaireau qui savait pas parler correctement, enfin bref sans plus me soucier de mon idiotie, je me dirigeai vers la cuisine et allumai la cafetière Nespresso. En plus je l'avais laissé dans le salon toute seule, et si c'était une voleuse qui disait chercher un locataire comme couverture et qu'elle volait tous ce qu'elle pouvait prendre et s'enfuyait une fois que l'hôte avait le dos tourné. Le physique et l'élégance digne d'une Catwoman pour hypnotiser le bon pigeon, c'était exactement le cas présent, fallait peut-être que j'aille voir ce qu'elle faisait … Oh mais qu'est-ce qui prend voyons ! J'ai vraiment vu trop film, on est certes dans New-York la ville la plus dangereuse du monde où tout peut arriver, mais quand même fallait pas exagérer, en plus elle était toute jeune, c'était vrai certains jeunes étaient déjà armés à l'âge de quinze ans puisque j'avais connu ce milieu mais delà à en faire tout un scénario c'était vraiment n'importe quoi. La machine s'étant allumée je disposai les tasses et les capsules, des cafés pas trop fort, servis dans des coupoles avec des petites cuillères ainsi qu'un morceau de sucre au bord de la coupole au cas où. Ainsi je retournai au salon les mains légèrement encombrées posant le tout sur la table, Mya était toujours à sa place, avait-elle bougé ou pas je ne savais pas mais je ne restais pas sur ma stupide idée précédente. Je repris ma fiche et bus une gorgée de café et commençai ma lecture avant de me faire un peu racler la gorge Alors tout d'abord ceux ne sont pas vraiment des règles mais plus des conditions de vie à respecter. 1 Si l'un de nous deux doit ramener son petit copain ou sa petite amie et qu'il souhaite garder un peu d'intimité, l'autre laisse la maison libre une petite Pour les tâches ménagères , le nombre de tâches sera répartie équitablement et ces tâches seront inversés tous les mois par exemple D'un côté, faire la machine à laver, passer l'aspirateur et nettoyer le parquet ainsi que les vitres, de l'autre faire la vaisselle, éteindre le linge et faire les courses sachant qu'il y aura une liste à enfin 3 Quelque chose qui sera obligatoire, PAS de drogue ici que ce soit clair et net, tu as le droit de fumer des cigarettes sur le balcon mais sûrement pas autre chose. Je suis très stricte te va ? »J'avais presque l'impression d'avoir perdu toute ma bonne humeur et d'avoir foutu un gros blanc en disant cette dernière phrase, elle allait peut-être me prendre pour un gros coincé, fallait que je rattrape le coup. Bon après avoir fini de dire les choses les plus barbantes, je voudrai qu'on fasse des présentations un peu plus approfondies, parles moi un peu de toi. » dis-je d'une voix douceOn avait beau se connaître depuis quelques minutes, j'avais déjà envi d'en savoir plus sur elle, cette fille m'intriguait, qu'était-elle réellement une bimbo qui cachait bien son jeu ou une jeune femme qui avait à la fois hérité d'une certaine intelligence et beauté ? Nous allions bientôt le savoir. Contenu sponsorisé Empire State of Mind Sujet Re Vieeens à la maisoon, y a le printemps qui chanteeee ♪ [ Feat Mya L. Fisher ] Vieeens à la maisoon, y a le printemps qui chanteeee ♪ [ Feat Mya L. 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